Salut à tous, c'est (anciennement) Sigma. J'ai changé d'allégence pour le meilleur comme pour le pire ^^.
J'ai connu le forum grâce à des amis de Poitiers il y a de cela un petit moment.
Nom:dans l'antiquité les germains ne portaient pas de noms...enfin je crois^^'
Prénom: Dumnorix
Age: 21 ans
Origine: Germanie
Groupe Sanguin: O+
Lieu d'entrainement: La Forge de Métal
Camp: Le forgeron des Dieux: Hephaistos, fils de Zeus et d'Héra
Armure souhaitée: Aspis forgeur du Bouclier
Physique:
Dumnorix est grand et à une carrure imposante. Il impressionne les gens évoluant dans le sanctuaire d'Hephaistos. Les forêt humides de Germanie ne sont pas réputés pour enfanter des hommes petits et faibles. Et ses muscles roulent sous sa peau tels des cables d'acier tendus à l'extreme.
Son corps est parcemé de brûlures duent à la pratique intensive de l'art de la forge, surtout sur les mains et les avant-bras.
Sa peau est brunie par la chaleur des flammes de la forge. Ces même flammes qui lui déssechent la peau du visage, le vieillissant d'une dizaine d'année par les rides qu'elles creusent.
Dumnorix n'est pas un homme attirant. Bien qu'il ne soit pas laid non plus, l'expression de rage contenue qu'il arbore en permanence ne facilite pas la conversation.
Ses cheveux noirs tombent sur ses épaules et font ressortir ses yeux d'un bleu profond.
Caractére:
D'un naturel concentré, il ne se laisse pas facilment distraire quelque soit la situation. Il a mauvais caractére et quiconque provoque sa colére le regrette amérement par la suite.
La forge recquiérant une grande patience, il est dur à la tâche et ne laissera jamais un travail inachevé. La patience n'est pourtant pas son fort lors de ses relations avec les autres où il est particuliérement maladroit et direct.
Obstiné comme seul ceux de sa race peuvent l'être, il n'abandonnera le combat qu'une fois mort. Son entêtement lui a souvent joué des tours car il ne sait parfois pas quand s'arréter pour limiter les dégats. “La sagesse qui vient avec la tempérence est comme l'eau qui refroidit le métal; c'est ce qui révéle le vrai potentiel de la lame” disait souvent son maître.
Il méprise un peu tous les chevaliers des autres panthéons, car aprés tout qui à le premier créé les armures et qui à le premier découvert l'art de la forge? Tous ces chevaliers que ce soit d'Arés, D'Hadés, D'Athéna ou de Poséidon peuvent-ils réellement saisir la valeur de l'armure qu'ils portent?
Test RP:
Les martaux résonnaient dans l'atmosphére sombre et chargé de particules de métal de la forge. Dumnorix perfectionnait sa technique de forge encore et encore pour pouvoir fabriquer les meilleurs armes, les meilleurs boucliers, les meilleurs cuirasses. Il fallait qu'ils soient au moins d'aussi bonne qualité que ceux de son maître et la tâche était ardu. Entre deux coups de soufflet le maître parla assez fort pour couvrir les bruits du métal qui résonne dans l'atelier:
-Quand tu auras fini, tu commenceras ton entrainement d'hoplite seul je dois terminer 2 ou 3 boucliers pour nos hommes.
-Bien maître.
La voix grave de l'apprenti résonnait dans la salle. Celle-ci avait parfois des accents métalliques. Peu aprés midi, le futur Aspis d'Hephaistos gagna seul la zone d'entrainement et commença à s'échauffer. Tout l'équipement nécessaire au hoplite était posé sur des rateliers le long des murs. Un chevalier du dieu forgeron se doit de savoir manier les armes et protections qu'il fabrique si il veut porter son art au-delà de la simple production, pour faire de ses créations de véritables oeuvres d'art.
*Je me dois de devenir plus fort. Le berserker d'Arés reviendra et cette fois c'est moi qui le vaincrait. *
Il avait ressentit une grande honte la semaine derniére quand le berserker l'avait mit hors de combat alors qu'il n'avait même pas réussit à porter un seul coup. Son maître avait dût intervenir pour le sauver et chasser l'intrus.
Une fois en tenue compléte d'hoplite, il débuta l'entrainement. Il se dépensa comme jamais auparavant, donnant des coups dans le vide avec une force et une vitesse comme jamais il n'avait fait. Et il s'entrainait toujours plus fort, toujours plus vite. Comme si plus rien d'autre ne comptait. Laissant exploser sa rage et sa frustration. Il consomma toutes ses forces. Au bout de quelques heures il était épuisé.
Son maître le regardait, les bras croisés, le regard sévère:
-La sagesse qui vient avec la tempérence est comme l'eau qui refroidit le métal; c'est ce qui révéle le vrai potentiel de la lame.
Le soleil se couchait déjà à l'ouest. Ce fut la seule leçon de la journée.